le silence...
le silence...
De tout temps le silence a été perçu comme une marque de respect et de
sagesse. Plusieurs auteurs s’accordent d’ailleurs à vanter les mérites et
vertus du silence (Henry de Montherlant & Gustave Le Bon). Mais si l’on
regrette souvent des paroles prononcées à tord, il est parfois libérateur de
rompre ce silence.
Le silence est la meilleur alternative pour l’ignorant et le colérique qui
peuvent être amenés à regretter rapidement des paroles incertaines ou trop
hâtives, toutefois, dans certaines situations, le silence doit faire place au
dialogue, que ce soit pour résoudre un conflit ou bien pour ôter un poids de sa
conscience.
On entend souvent « mieux vaux se taire et passer pour un idiot, plutôt que
parler et le confirmer ». Cette peur du ridicule, en société est la raison
principale pour laquelle on garde le silence. En effet, il existe des personnes
extrêmement timides qui préféreront garder le silence plutôt que d’être
humiliées en public. Si cette situation ne semble pas glorifiant, garder le
silence au lieu de participer à une discussion dont le thème nous est inconnu
est une méthode efficace pour ne pas attirer l’attention sur soi, tout en
enrichissant sa culture et en laissant « ceux qui savent de quoi ils parlent »
s’exprimer sur le sujet.
Chhh ...
« Prenez la parole sous le coup de la colère et vous prononcerez le meilleur
discours que vous puissiez regretter». Il est très fréquent, lors d’une dispute
que « nos mots dépassent notre pensée ». Quand nous nous mettons en colère, sur
un sujet qui nous tient à cœur ou encore à l’encontre de personnes qui nous
sont chères, nous sommes plus promptes à perdre le contrôle sur nous même et
sommes amenés à dire des choses blessantes à autrui. Ces paroles sont, avec le
recul regrettées. Ce regret vous rongeras pendant longtemps alors le conseil
que je vais vous donner aujourd’hui sera le suivant :
si vous regretter un
acte ou une parole n’hésitez pas d’allez vous excuser auprès de la ou les
personnes offenser